L'expérience de Lewis Hamilton au Grand Prix d'Espagne 2025 a été le point culminant des frustrations qu'il a accumulées au cours de sa première saison avec Ferrari. Finalement classé sixième—après avoir été promu de la septième place suite à la pénalité de Max Verstappen—Hamilton l'a décrite comme « l'une des pires courses » de sa carrière.
La course a commencé avec Hamilton perdant des positions, et dès le neuvième tour,
il a été instruit de laisser passer son coéquipier Charles Leclerc, une directive qu'il a suivie, permettant à Leclerc de monter en quatrième place. Malgré ses efforts, Hamilton a eu du mal avec le rythme de la voiture et a été dépassé par la Sauber de Nico Hülkenberg, finissant finalement derrière Leclerc et George Russell.
« La pire course de ma carrière »
Lorsqu'on lui a demandé à propos du rythme de sa Ferrari durant la course et pourquoi il n'a pas pu combler l'écart, le septuple champion du monde a répondu aux médias, y compris GPblog, par une courte réponse : « Je n'ai aucune idée de pourquoi c'était si mauvais. »
Hamilton n'a pas mâché ses mots, lorsqu'on lui a demandé : « Alors, où allez-vous à partir d'ici ? »—une question destinée à explorer comment l'équipe pourrait s'améliorer en vue de la prochaine course au Canada—Hamilton a répliqué sèchement : « Chez moi. »
Cette performance contraste fortement avec les succès précédents de Hamilton sur le Circuit de Barcelona-Catalunya, où il partage le record de la plupart des victoires (six) avec Michael Schumacher.
Hamilton n'est pas mécontent de la performance de son équipe
S'exprimant après la course avec Sky Sports, le pilote Ferrari a commenté que ce n'était pas la faute de son équipe pour son résultat de course et que la stratégie n'avait pas joué un rôle négatif, « L'équipe a fait un excellent travail, la stratégie était grande ».
Enfin, Hamilton a commenté la raison de ses réponses courtes"J'ai vraiment passé une mauvaise journée, je n'ai rien à dire".
Au fur et à mesure que la saison progresse, les frustrations de Hamilton reflètent les difficultés plus larges auxquelles Ferrari est confrontée pour revenir à une forme compétitive, avec son coéquipier Leclerc obtenant des résultats plus constants, y compris récemment deux podiums consécutifs.