Wolff critique vivement la discussion de la commission F1 sur les moteurs de 2026 comme étant «une blague»

14:07, 21 avr.
Mis à jour: 23:47, 22 avr.
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La réunion de la commission F1 prévue cette semaine pourrait rediscuter la redistribution de la puissance entre le moteur à combustion interne et la partie électrique des moteurs F1 pour 2026. Toto Wolff, directeur de Mercedes, a exprimé son scepticisme face à ces changements, les qualifiant de "blague".
Toto Wolff, directeur de l’équipe Mercedes et PDG, n’a pas mâché ses mots concernant les discussions sur la redistribution de la puissance des moteurs F1 en 2026. Selon lui, l'idée d'un changement de répartition entre le moteur à combustion interne et la part électrique, qui passerait de 50-50, est absurde.

Une commission F1 pour discuter des ajustements

La réunion de la commission F1 de cette semaine devrait se concentrer sur une possible redistribution de la puissance entre ces deux composants du moteur. Ce changement est suggéré en raison des disparités notables entre les fabricants, notamment Honda, Red Bull Powertrains-Ford, Audi et Ferrari, dont les moteurs ne sont pas encore à la hauteur des attentes, contrairement à la situation de Mercedes, qui semble avoir pris une avance significative.

Wolff exprime son scepticisme

Lors du Grand Prix d’Arabie Saoudite, Wolff n’a pas hésité à critiquer ces propositions. "Lire l'ordre du jour de la Commission F1 est presque aussi hilarant que de lire certains des commentaires que je vois sur Twitter concernant la politique américaine", a-t-il lancé, exprimant clairement son mécontentement face à cette nouvelle direction. Il a ajouté que la situation précédente, où un sommet avait déjà eu lieu pour discuter des moteurs, semblait avoir été oubliée à peine une semaine après.

Les options pour 2026 : redistribution ou statu quo ?

La redistribution de la puissance entre les deux composants du moteur serait l'option la plus radicale, s'éloignant de l'objectif initial de 50-50. Une autre option consisterait à réduire la puissance de la batterie pendant les courses, bien que cela semble moins probable. À défaut, le maintien de la situation actuelle pourrait aussi être envisagé.
Wolff, de son côté, reste catégorique : il juge ces changements non nécessaires, mettant en lumière les défis auxquels la F1 est confrontée en matière de compétitivité des moteurs pour 2026.
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